Ont collaboré à ce numéro

 Cément Conti
 CICR
 Droits humains
 Mme Chloé DELSAD
 MSF
 Nadia Boehlen
 OIF
 ONUSIDA
 UNIS

Nous lire dans

Compte Utilisateur

Audios



Souscription

MERCI

Le groupe

Directeur de publication
· Elh Gorgui W NDOYE

Rédacteur en chef
· Elh Gorgui W NDOYE

Comité de Rédaction
· El hadji DIOUF
· Papa Djadji Guèye ·

Responsable Informatique
· Alassane DIOP

Responsable Gestion
· Cécile QUAN

Webmaster
· REDACTION

Contact

Adresse
   Salle de Presse
   N0 1 Box 35
   8, Avenue de la
   Paix Palais des Nations Unies
   1211- Genève 10 Genève Suisse.
Téléphones

   +41 22 917 37 89
   +41 76 446 86 04

Service

Publicités, Abonnements et Souscriptions

Téléphone
· Suisse:
   +41(22)917 37-89
   +41(76)446-86-04

Ou envoyez un courriel à Info@ContinentPremier.com

Le Groupe de travail des Nations Unies sur l'utilisation de mercenaires a averti aujourd'hui que des réseaux complexes de recrutement et de voyage ont enrôlé des milliers de tunisiens, hommes et femmes ainsi que des familles entières pour participer aux combats en Syrie et en Irak. La plupart des combattants auraient rejoint les groupes takfiri et d'autres groupes extrémistes à l'étranger. 

« Le nombre de combattants étrangers tunisiens est l'un des plus élevés parmi ceux qui voyagent pour rejoindre les conflits à l'étranger tels qu’en Syrie et en Irak », a déclaré l'experte des droits de l’homme El&0;bieta Karska, qui dirige actuellement le Groupe d'experts, après une visite officielle* en Tunisie pour recueillir des informations sur les activités des combattants étrangers dans le pays. 

L'experte a été informée de la présence de quelque 4.000 tunisiens en Syrie, 1000 à  1500 en Libye, 200 en Irak, 60 au Mali et 50 au Yémen. Les 625 qui sont rentrés d'Irak sont poursuivis en justice. 

 

 

 

Le Soudan du Sud menacé par la famine, prévient le CICR

Publié le, 10 juillet 2015 par M. Clément CONTI

  Né un 11 juillet à la suite d'un référendum d'autodétermination le séparant de Khartoum, le pays fait déjà face à de grands défis. 4 ans et une instabilité politique d'une rare violence aux conséquences humaines désastreuses. Se nourrir devient une urgence. La guerre qui s’est installée fait craindre le pire. A Genève, la Croix Rouge tire sur la sonnette d’alarme. La communauté internationale est interpellée.

 

Genève / Bamako (CICR) – Tout quitter pour fuir la violence. C’est le sort qu’ont connu des milliers de personnes dans le nord du Mali, qui se retrouvent  souvent sans moyens de subsistance et sans abri. Pour faire face à cette situation alarmante, près de 1 400 tonnes de vivres, des semences et des biens de première nécessité ont été distribuées aux populations de Mopti, Tombouctou, Gao et Kidal par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR), en collaboration avec la Croix-Rouge malienne et les leaders communautaires.

 

Bassikounou/Genève, 3 juillet 2015 – L’arrêt de la distribution mensuelle de nourriture en juillet pour 49,500 réfugiés maliens dans le camp de Mbera risque d’augmenter les taux de malnutrition aigüe, prévient l’organisation médicale humanitaire Médecins Sans Frontières (MSF), qui fournit des soins médicaux et nutritionnels dans le camp. MSF appelle les bailleurs de fonds internationaux à veiller à ce que la population du camp de Mbera ait accès à une alimentation adéquate.

 

Le Programme alimentaire mondial (PAM), qui fait face à des déficits financiers, a été incapable de trouver les fonds nécessaires à la distribution générale de nourriture ce mois-ci. Le Haut-commissariat aux réfugiés (HCR), responsable de la gestion du camp, a également invoqué le manque de financement pour proposer une solution alternative afin d’empêcher une augmentation consécutive de la malnutrition.