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En quittant la Suisse pour le Sénégal et le Canada, Alassane Diop avait une opportunité de continuer de travailler comme enseignant chercheur à l’Université de Genève ou d’intégrer une société bancaire comme chef de projet où il était consultant durant 5ans. Après des études brillantes à Gaston Berger de Saint-Louis, Alassane Diop a soutenu sa thèse de doctorat à l’Université de Genève. Il a choisi de quitter la Suisse malgré ces deux offres car Alassane avait pour «objectif de retourner au Sénégal» après sa thèse.
Le Canada
M. Diop a intégré à Montréal un centre de recherche dans le domaine des télé-laboratoires et de l’enseignement en ligne en Réseaux, Sécurité et Informatiques Mobiles. Ce choix s’explique par le fait qu’« il est plus préférable d’intégrer une université autre que celle où on a fait sa thèse, pour s’imprégner de ce qui se fait dans d’autres laboratoires». L’objectif est de comparer son travail avec ce qui se fait ailleurs.
Fidèle à lui-même, Alassane Diop, retournera au pays natal pour enseigner l’informatique au sein de l’Université où il était étudiant pendant 5 ans. Cependant, il gardera un pied en Occident en poursuivant ses recherches post-doctorales au Canada.
Pour le chercheur sénégalais, au delà du fait que le Canada offre des avantages en termes de recherches universitaires avec ses nombreuses universités (4 grandes rien qu’à Montréal), ce pays est « plus ouvert et intègre beaucoup plus ses étrangers ». Toutefois reconnaît M. Diop : « au point de vue salaire, la Suisse est plus intéressante ; tu gagnes plus mais tu dépenses plus. Au Canada, la vie est moins chère». Dans ce pays, l’étranger, selon ses compétences peut prétendre à tout ce que ses qualifications lui permettent. L’étranger peut acquérir le droit de vote après sa naturalisation qu’il obtient après trois ans de résidence. Alors qu’en Suisse, l’étranger titulaire d’un permis B, n’a pas accès à tous les emplois.
Les parents titulaires d’un permis B, transmettent ce statut à leurs enfants nés dans le territoire suisse. Au Canada, l’enfant qui y est né, devient Canadien.
Propriétaire à Thiès, une des grandes villes du Sénégal, d’une école d’informatique (EPFI) depuis 1996, Alassane Diop est recruté comme enseignant chercheur à l’Université Gaston Berger de Saint Louis.
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