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« On doit arrêter de dire que le mariage forcé, c’est l’affaire des gens venus d’ailleurs ». En Occident, « le mariage forcé est un sujet tabou dont on a peur de parler. Certains responsables politiques ont peur d’être taxés de racistes alors qu’ils se doivent de protéger tous les citoyens» constate Leila. En 2004, elle a publié à Oh Editions « Mariée de force », un livre autobiographique très touchant et poignant, qui fut un best-seller. Leila sera régulièrement l’invitée de la presse de l’Hexagone. Cinq ans après, elle revient avec nous sur son livre en constatant amère que l’Etat français ne bouge pas face à la gangrène des mariages forcés. « C’est l’affaire des autres », dit-on alors que cela se passe aussi ici en Europe. Les médias ont beaucoup parlé du procès du Pakistanais Mushtaq Amer Butt, 28 ans, condamné à 20 ans de prison pour avoir brûlé à 60% son ex-petite amie Chahrazad Belayni, âgée de 21 ans qui avait refusé sa demande en mariage en novembre 2005. Un mois auparavant le mariage forcé, défrayait encore la chronique avec l’affaire de la fille Iranienne de 10 ans mariée et déjà divorcée. Cet entretien remet les pendules à l’heure en suggérant plus l’action que les gesticulations.   

Rencontre avec  Dorah Illunga, une des rares femmes métissées dans le paysage politique belge.

Par Lucie HAGE, correspondante en Belgique.

(BRUXELLES)- Être une femme dans le monde toujours très masculin de la politique ce n’est pas une situation des plus évidentes. Ce cliché, qu’on le veuille ou non, reste encore d’actualité.  Mais en plus, lorsqu’on est d’origine étrangère et que notre couleur de peau ne laisse aucuns doute à ce sujet, le parcours du combattant n’en est que plus intense.  Preuve en est que, pour le moment, seulement deux  femmes de couleur ont réussi à se nicher dans cette jungle ou le pouvoir que cette dernière peut engendrer se conjugue avec un véritable don de soi. Il y a Gisèle Mandaila, ancienne secrétaire d’Etat aux familles et à la personne handicapée, qui est aujourd’hui conseillère communale à Etterbeek, et Dorah Illunga, ex-échevine, et conseillère communale à Saint-Josse. 

Agé de 75 ans, M. Charles Bonnet ancien professeur à l’Université de Genève, a opté pour une carrière d’archéologue. Très réputé en Europe, il est part au Soudan pour travailler dans ce pays qui l’intéresse beaucoup du fait de son grand intérêt pour l’égyptologie. C’est ainsi qu’il poursuit son travail entre l'Egypte et le Soudan avec l’idée de se mettre à la disposition des populations pour leur faire profiter de son expérience.   Très vite au contact des Soudanais, il s’est rendu compte qu’il fallait faire de la formation. C’est ainsi qu’il a invité à Genève des spécialistes africains et peu à peu, il y a des échanges qui sont de qualité entre l’Europe et l’Afrique. Il est par ailleurs co-directeur de deux équipes d’archéologues d’une dizaine de personnes chacune. Ces équipes englobent européens et africains notamment des Egyptiens et des Soudanais.

« Fille unique d’une tribu de garçons », Leila, notre invitée, explique dans son livre « Mariée de force », publié en 2004 à Oh Editions qu'elle devait obéir à son père et se ranger dans une vie rythmée entre ordres et interdictions.  Son papa avait décidé pour qui, elle devait se marier : un inconnu d’un âge avancé. Se révolter, serait une sorte de suicide à vie dans une société où être répudiée, est la pire humiliation pour une femme. Retour sur un livre poignant « Mariée de force »,  écrit dans un langage captivant et qui interpelle toute conscience.

« Ma mère avec sa tribu d’enfants, faisait un travail à la chaîne. Même  la nuit, il y  avait toujours un bébé qui pleurait. Sa vie était un esclavage total », décrit l’auteur de « Mariée de force ».  Leila, on le comprend bien, devait ainsi aider sa mère à la maison, pourtant malgré ce travail familial qui lui est imposé par sa nature même de femme, la jeune fille refusait d’être une autre esclave de sa propre famille. Elle est restée longtemps unique fille d’une fratrie de 11 enfants. Son père, un beau jour décida de l’offrir à un homme qu’elle n’a jamais connu. Cet inconnu bouleversera la vie d’une jeune fille qui rêvait plus tard d’un mariage  avec un homme qu’elle aurait aimé.

Le livre de Paul Fournel, Chamboula qui appartient à la littérature oulipienne*, est l’histoire faussement naïve d’un village africain (le « Village Fondamental ») où vit la belle Chamboula «à la démarche élastique, qui fait tourner les têtes et provoque de grandes élévations». Tout le monde vit paisible et heureux jusqu’à l’arrivée du Blanc -prénommé S.A.V. (Service Après Vente)- qui vient tout chambouler en amenant la modernité : le frigo pour lequel on finit par se battre pour profiter de sa fraîcheur, la télévision qui vient remplacer l’arbre à palabres, etc. et qui ne manque pas de creuser la terre pour trouver le pétrole qui fait même gicler les ancêtres !  En changeant le village en ville, l’anarchie, le désordre et l’irrespect vont s’installer.

NOUAKCHOTT- La Mauritanie est en proie à des crises graves et multiformes qui peuvent d’un jour à l’autre dégénérer en conflits et hypothéquer son existence.   

La crise politique :  

Elle est due à l’usurpation de l’autorité suprême par un officier félon, dévoré par l’ambition et l’exercice du pouvoir. Il est réfractaire aux règles démocratiques et ne reconnaît pas les accords scellés dans le cadre des coopérations et relations internationales. 

De jour en jour, l’orientation despotique, démagogique, familiale et clientéliste du pouvoir issu du coup d’Etat du 6 Août 2008 se confirme. La grande tendance du régime militaire est d’opérer de manière large à l’éviction des tendances de bonne gouvernance, de tolérance et de respect du droit. Toutes ces valeurs qui ont été portées par l’avènement au pouvoir du Président Sidi Ould Cheikh Abdallahi, démocratiquement élu en 2006, sont remplacées depuis par l’incurie, le mépris des lois et l’achat des consciences. Les putschistes imprimèrent au mouvement de rectification une allure de révolution des voyous, qui du reste n’a pas de précédent dans l’histoire de la Mauritanie post indépendante. 

Par Biram Dah ABEID*

Naples le 14 février 2009) Le Maghreb, à l’instar du monde Arabo Musulman, est traversé par des courants et idéologies à fortes connotations culturelles et religieuses intimement liées à une large et systématique culpabilisation de l’Occident Judéo-chrétien perçu comme source de décadence, de morcellement et d’affaiblissement des Oumma Arabe et / ou Islamiques. Et à l’image de sa nourrice, l’Orient, il est un terrain ou s’expriment la violence et l’extrémisme religieux sous un angle assez large. L’une des résultantes de cet expression est la nébuleuse de mouvements jihadites armés et leurs confrontations meurtrières avec les différents pouvoirs centraux de la sous région maghrébine.

Après la Mauritanie, la Guinée Conakry, la Guinée Bissau a rompu ce matin du lundi 2 mars 2009 sa difficile marche vers la démocratie. Comme si les Africains, voulaient donner raison à ceux qui les infantilisent : « Ils ne sont pas mûrs pour la chose démocratique ». C’est encore la Presse française qui nous l’apprend : un Coup d’Etat en Afrique. Cette fois, comme dans de mauvais souvenirs remontant au début des indépendances africaines : le sang a coulé !

Accusé d’être « l'un des principaux responsables » de la mort du chef d'état-major de l'armée, le général Tagmé Na Waié, tué après un attentat à la bombe le dimanche soir, le président Joao Bernardo Vieira, est assassiné ce lundi matin 2 mars 2009, nous apprend la Radio France Internationale (RFI) alors qu’il essayait, dit-on de s'enfuir quand il avait été «fauché par des balles tirées par des militaires ». Et un officier de clamer : «Le pays va démarrer maintenant. Cet homme a bloqué tous les élans dans ce petit pays» selon l’AFP (Agence France Presse).

Le Conseil des droits de l'homme lors de sa session extraordinaire sur «les graves violations des droits de l'homme dans le territoire palestinien occupé, y compris la récente agression dans la bande de Gaza occupée» a entendu les différentes délégations. Lire ce document qui relate l'ambiance des discussions onusiennes.
 
Dans une déclaration liminaire, la Haut-Commissaire aux droits de l'homme, Mme Navanethem Pillay, a notamment insisté pour que le cessez-le-feu demandé hier par le Conseil de sécurité soit immédiatement mis en œuvre. Elle a souligné que si les attaques aveugles à la roquette contre des cibles civiles israéliennes sont illégales, la responsabilité d'Israël de s'acquitter de ses obligations internationales est totalement indépendante du respect par le Hamas de ses propres obligations. Les obligations des États à l'égard des civils ne sont pas soumises au principe de réciprocité, a-t-elle insisté. Elle a qualifié d'inacceptables les frappes israéliennes contre des installations clairement marquées du sigle de l'ONU, où des civils avaient cherché refuge. Elle a souhaité le déploiement d'observateurs des droits de l'homme tant en Israël que dans le territoire palestinien occupé. 

Une Charia en Suisse? Impensable!

Publié le, 15 février 2009 par

Au nom de la diversité culturelle, Christian Giordano, professeur à l'Université de Fribourg, propose de permettre à certains groupes ethniques ou religieux d'appliquer leurs propres juridictions, par exemple en matière familiale. Vif débat.

swissinfo, Michel Walter

L'article s'intitule sobrement «Le pluralisme juridique: un outil pour la gestion du multiculturalisme». Il a paru dans le dernier bulletin de la Commission fédérale contre le racisme, Tangram. Et lorsque son auteur, le socio-anthropologue Christian Giordano de Fribourg, déclare qu'il souhaitait provoquer un débat, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a réussi. L'article a en effet suscité un tollé dans toutes sortes de milieux. Il y a eu par exemple 60 réactions, toutes négatives, dans la NZZ am Sonntag et sur le site Internet du Matin.

Devant l'ampleur du phénomène de l'exploitation sexuelle, tant au niveau européen qu'international - traite des êtres humains à des fins de prostitution, de pornographie, tourisme sexuel - aussi bien des adultes que des enfants, il est essentiel que l'ensemble de la Communauté Internationale (société civile et gouvernements) puisse s'unir autour d'une journée, a plaidé dans un communiqué le Groupe International de Paroles de Femmes (G.I.P.F). Pour cette association il s'agit en une journée de mobiliser, sensibiliser, informer les gouvernements, les institutions et le public, sur cet asservissement sexuel.

TUNIS-(communiqué) La Tunisie est le meilleur pays arabes où il « fait bon de vivre ». La société irlandaise « International Living », observateur de la qualité de vie dans le monde vient de la classer en tête des pays arabes en la matière.

We made it or did WE? 

Publié le, 15 février 2009 par

If for nothing better than a dream

By MARINA STANKOV-HODGE

I finally want to come…home

After 2 years away physically and 28 spiritually

I don’t mind coming home

Because of the dreams of less than 40 years ago that were somehow unachievable then

 
En tournée internationale pour la promotion de leur nouvel album, Welcome to Mali, Amadou et Mariam ont donné samedi un concert réussi au Château Rouge. 
 
(Annemasse-France) - ‘Démagogie en politique, nous n’en voulons pas, les dictateurs, ce n’est pas bon’. ‘Respect au peuple, de la paix pour le peuple’. ‘Le politicien trahit ses pairs, rien que pour la victoire’. Beaucoup de Sénégalais et d’Africains applaudiraient certainement ou se reconnaîtraient dans ces messages forts délivrés au Château Rouge, le samedi 24 janvier, par le couple de chanteurs non-voyants qui tiennent le bâton pour guider en toute clarté et en toute assurance le public chaleureux qui suit en toute confiance Amadou et Mariam joyeux et généreux. Le couple malien est en tournée internationale pour la promotion de leur nouvel album Welcome to Mali.  

DROITS DE L’HOMME EN AFRIQUE

Publié le, 15 février 2009 par

La Cour et la Commission, l’urgence d’une clarification

MONTREAL : Chevauchement, préséance, conflits de compétence. Entre la Cour africaine des droits de l’homme  basée en Tanzanie  et la Commission africaine domiciliée en Gambie, l’urgence finalement de la clarification se signale aujourd’hui comme une nécessité absolue d’une bonne applicabilité des droits de l’homme en Afrique. Tel est le constat de juristes canadiens de l’organisation Droits et Démocratie créée en 1988 qui viennent de publier au terme d’un séjour deux années en Gambie à la Commission africaine des droits un ouvrage intitulé « Défendre les droits humains en Afrique : Points de vue sur la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples ».

 
Madické Niang, ministre de la Justice a présenté le vendredi 6 février 2009 devant le Conseil des droits de l'Homme la politique publique du Sénégal en matière de démocratie et de droits humains. Soixante pays ont pris la parole pour féliciter le Sénégal ou l'inviter à déployer plus d'efforts dans la concrétisation et l'ancrage des droits.

 
 

L'histoire:  Dans cet ouvrage, l'auteur, un journaliste reconnu, met en évidence le Divorce sans consentement mutuel existant entre le peuple français et ses hommes politiques. 
Loin d'être un simple ouvrage politique, il prend pour exemple des faits réels, qu'ils soient le fait d'une politique de gauche ou de droite. 
De la défaite de la gauche en 2002 à ce qui pourrait bien arriver en 2012, tout y passe, sans aucune concession.

  Caractéristiques:

Pages: 166

Genre: Société / Politique

ISBN: 978-2-35892-000-2
Dépôt légal: 1er trimestre 2009

Disponibilités*: Livre - 20 € (+ frais de port), PDF** - 14,99 €, Web - 14,99 €

Pour plus d’informations pour la commande:

http://www.vosromans.fr/romans/divorce.html

Depuis l’échec, sur fond de désastre social, des plans de rigueur économique initiés par les institutions financières internationales (dont le FMI et la Banque mondiale) et les riches pays du Nord, l’Afrique subsaharienne est le théâtre des mutations les plus spectaculaires de la globalisation du monde. Si ces transformations ont parfois des formes dramatiques (émeutes de la faim, coups d’État, guerres, revendications identitaires, etc.) donnant l’impression d’un immense chaos, les événements ne sont pas moins compréhensibles qu’ailleurs. Ce sont du reste les simplifications médiatiques et les préjugés dépréciatifs qui créent ce que certains appellent l’«insoluble complexité» du continent noir. En douze chapitres qui mêlent le récit et l’analyse, cet ouvrage dresse l’état des lieux de ce nouvel an zéro du sous-continent, où ce qui se joue aura des conséquences certaines sur le reste du monde. Et pour cause, l’Afrique subsaharienne est le laboratoire historique des crises qui guettent désormais le versant riche de la planète (explosion des inégalités sociales, appauvrissement des classes moyennes, déni de la puissance publique et du rôle de l’État). 

Par Rachid MOUSTAPHA*   

Le 5 février 2009, le Conseil de Paix et de Sécurité de l’Union africaine a exigé « le retour immédiat à l’ordre constitutionnel en Mauritanie » et a imposé des sanctions à l’encontre des putschistes, en particulier le refus de leur accorder des visas, des restrictions sur leurs voyages et le gel de leurs avoirs bancaires et financiers. C’est un signal fort adressé par l’Afrique au quarteron de militaires qui refusent, depuis le 6 août 2008, le rétablissement immédiat des institutions légitimes, constitutionnelles et démocratiques issues des élections législatives et présidentielles respectivement organisées en novembre 2006 et mars 2007. C’est un signal fort adressé par l’Afrique au peuple mauritanien pour réaffirmer que le coup d’Etat du 6 août 2008 ne passera pas et que les démocrates mauritaniens ne sont pas seuls dans leur combat pour la restauration de l’ordre constitutionnel.   

Blaise Lempen, directeur du Bureau de l’Agence Télégraphique Suisse (ATS) à l’ONU co-dirige avce Mme Abdel Nabi Hedayat de Kuna la Presse Emblème Campagne (PEC), une organisation de journalistes qui travaille pour la protection du personnel de la presse en zones de conflit. A la suite de la publication du rapport  de la PEC, notre collègue Blaise Lempen a bien voulu répondre à nos questions. 

Que vise la PEC en publiant un rapport sur les journalistes? 

La PEC cherche à renforcer la prise de conscience du problème de la protection des journalistes, à dénoncer les gouvernements fautifs (qui n'aiment pas cela), à  faire pression sur les Etats pour qu'ils respectent mieux la liberté de la presse et à faire progreser la discussion sur les moyens légaux d'améliorer le travail des medias dans les zones de conflit.  

N'êtes vous pas en train de concurrencer Reporters Sans Frontières?  

Nous avons des rôles complémentaires, comme Human Rights Watch et Amnesty Interantional. La PEC est spécialisée sur les zones de conflit (un peu comme le CICR), alors que RSF a une mission beaucoup plus large (comme Amnesty). Il n'y a aucune concurrence, mais au contraire complémentarité. Nous avons des réseaux différents et nos efforts se renforcent les uns les autres. 

Barack H. Obama de par ses origines multiethniques, de par sa trajectoire presque planétaire, n'est ni Noir, ni Blanc, il est effectivement métis dans ce que cela a de plus fort; la rencontre d'un homme et d'une femme de couleur différente, de civilisation différente mais unis au delà des liens du mariage par un héritage commun, celui d'appartenir à une seule race, à une seule unité: l'humanité.

Comme Nelson Mandela, ailleurs, dans cette terre première d'Afrique noire, qui représente l'incarnation africaine de plus que l'homme universel de Senghor mais l'incarnation même de l'universalité de l'Homme, comme me le confiait le professeur Mamadou Diouf, historien sénégalais à Columbia. Cette universalité est : “une déclinaison qui affiche une Afrique conquérante, prête à se prendre en charge, libre, parfois facétieuse, triste ou joyeuse.»

Promouvoir le sport et ses acteurs, c’est l’un des objectifs de Jappo SA qui, depuis sa création en 2005, n’a cessé d’innover dans ce domaine pour apporter un plus à la promotion et au développement du sport en Afrique. C’est ce qui a d’ailleurs présidé à la naissance des Jappo Awards qui sont un véritable hymne à la reconnaissance envers des  personnes physiques et des institutions qui ont décidé de faire du développement du sport en Afrique, une des priorités de leurs actions quotidiennes. Ainsi pour rendre hommage, à cette catégorie de personnes, Jappo a créé les Jappo Awards dans quatre catégories différentes : meilleure politique de développement d’infrastructures sportives, Fair play, promotion du sport en Afrique et promotion du sport chez les personnes handicapées.

Kairouan cité de l’Islam 2009 

Publié le, 15 février 2009 par

Kairouan est la 4ème ville sainte de l'Islam, après La Mecque, Médine, et Al Qods. Elle a été fondée il y a treize siècles en l’année 670 apr. par Okba Ibn Nafaa qui en fera le point de départ de la conquête de l’Afrique du Nord et de la diffusion des enseignements de l'islam et la civilisation arabe parmi ses peuples.

Depuis, Kairouan devint la capitale de l'Ifriqiya puis celle de la dynastie des Aghlabides au IXe siècle. Délaissée sous la dynastie fatimide, la ville retrouvera son rôle de capitale sous le califat d'al-Mansour, au Xe siècle.