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GENEVE- La médiation sénégalaise en Mauritanie saluée par la Communauté  internationale a eu comme conséquence le retour « démocratique » d’un président putchiste au pouvoir. Pour éviter ce scénario, et le syndrome de la monarchie à la togolaise, l’opposition guinéenne s’organise. Mamadou Mouctar Diallo, Président du parti NFD (Nouvelles Forces Démocratiques), prit ainsi contact avec des personnalités politiques européennes (Paris, Milan, Genève) et rencontre ses compatriotes de la diaspora. Après cette tournée européenne, M. Diallo arrive en Guinée, à 8 heures du matin à l'aéroport Gbessia, par le vol Air Mali, le dimanche 27 septembre 2009, par le vol Air Mali pour participer le lendemain, le lundi 28 septembre à Conakry, à la manifestation qui sera organisée par les Forces Vives, qui « demandent le départ du capitaine Dadis ».  Une marche réprimée et dont l’histoire est écrite en lettres de sang. On dénombre 130 morts, selon l’ONU.

Le 28 septembre 1958. La Guinée vient de dire avec force « NON » au référendum qui lui a été proposé par le Général de Gaulle, de passage à Conakry, pour rester dans la Communauté française. Elle en paiera le prix fort : intimidations et répressions, tentatives d’assassinat et corruption active, complots et pressions diplomatiques, saccage de l’administration et des institutions qui maintenaient peu ou prou la vie sociale et économique du pays, etc. Ce sont là quelques unes des actions directes et indirectes de l’ancienne puissance coloniale française contre ce petit pays rebelle.